Études
Schitter & Fleckenstein, 2015, Die KomplementärTherapie WATSU® in der Rehabi-litationsphase nach einem schweren Verkehrsunfall (La thérapie complémentaire WATSU® en phase de rééducation après un grave accident de la route)Sept semaines après avoir été blessée dans un accident de moto, une patiente a été renvoyé chez elle et a demandé à intégrer le WATSU® à son programme thérapeutique. Outre la perte de mobilité engendrée par diverses fractures (notamment la ceinture pelvienne, le fémur et diverses côtes), la patiente a également subi un traumatisme psychologique dû à cette expérience qui aurait pu lui coûter la vie.
Elle a été traitée avec 6 WATSU® pendant 2 mois et a tenu, pendant cette période, un journal qui a été analysé scientifiquement. Il a été clairement établi que les sujets abordés par la patiente en relation avec le WATSU® étaient totalement différents de ceux liés à ses expériences quotidiennes et à d’autres expériences médicales. Le WATSU® a été pour elle un réel « bienfait complémentaire » et a enrichi sa phase de rééducation.
La présentation (en anglais) de cette étude de cas de cas peut être trouvée ici.
Schitter et al., 2015, WATSU® im dritten Trimenon der Schwangerschaft. (Le WATSU® au troisième trimestre de la grossesse.).
Une étude a été menée sur les effets de WATSU® au cours du dernier trimestre de grossesse, en étroite collaboration avec la Clinique gynécologique de l'Hôpital universitaire de Berne, le département Santé de la Haute école spécialisée bernoise et l’Institut für Komplementärmedizin IKOM de l’Université de Berne. L’étude menée sur 17 participantes a couvert de nombreux paramètres. Les résultats qualitatifs suggèrent que le WATSU® a été très apprécié par toutes les participantes traitées pendant l’étude. Elles ont indiqué que le stress et les douleurs dorsales étaient réduits après les traitements par WATSU®. La très forte tonicité de l’utérus s’est équilibrée chez certaines femmes après deux traitements d’une heure (qui ont été effectués en quatre jours). La moitié des huit enfants dont la position n’était pas normale ont ainsi réussi à se retourner. Entre la première et la deuxième session de WATSU®, un bébé est spontanément passé d’une présentation par le siège à une position la tête vers le bas.
Aucun effet secondaire négatif n’a jamais été observé. Le volume du liquide amniotique et le débit sanguin du cordon ombilical ont également été pris en compte dans toutes les mesures (immédiatement avant et après le traitement, ainsi qu’au huitième jour de l’étude). L’enthousiasme des mères a en outre été unanime. L’étude peut être consultée ici.
Chon et al., 2009, Spastische Hemiparese (hémiparésie spastique)
Trois patients paralysés après un accident vasculaire cérébral ont été traités pendant 8 semaines avec 40 fois WATSU®. Des tests réalisés sur leurs capacités fonctionnelles (par exemple, la marche) ont montré des améliorations significatives. Le WATSU® a eu un effet positif sur ce groupe de patients en termes de ré-harmonisation de la tension musculaire, et plus particulièrement au niveau des spasmes. L’étude peut être consultée ici.
Maczkowiak, 2007, Depression (Dépression)
Dans le cadre d’une hospitalisation, 31 personnes diagnostiquées en dépression ont suivi différents programmes de thérapie par le mouvement. Pendant six semaines, ils ont réalisé quatre séances de thérapie par le mouvement d'une heure par semaine, en plus de leur thérapie médicamenteuse et psychothérapeutique personnelle. L’état de tous les participants s’est amélioré au cours de ces six semaines. Et l’effet observé a été encore plus marqué chez les 9 participants dont le programme de thérapie par le mouvement comprenait 1 à 2 séances de WATSU® par semaine. L’étude peut être consultée ici.
Faull, 2005, Fibromyalgie (Fibromyalgie)
13 participants souffrant du syndrome douloureux de fibromyalgie ont été traités dans cette étude à quatre reprises pendant deux semaines avec des massages Aix (massages effectués par terre sous une douche chaude) ou du WATSU®. Seul le WATSU® a eu des effets positifs significatifs sur les points suivants : vitalité, capacité fonctionnelle physique, douleur physique et fonction du rôle social (déterminée avec le questionnaire SF-36). Les améliorations du bien-être mental et de la fonction du rôle émotionnel ont été considérables, bien que non significatives. L’étude peut être consultée ici.